COACHING DE CRISE

Une difficulté professionnelle ?
Une impasse dans votre vie personnelle ?

Sed ut tum ad senem senex de senectute, sic hoc libro ad amicum amicissimus scripsi de amicitia. Tum est Cato locutus, quo erat nemo fere senior temporibus illis, nemo prudentior; nunc Laelius et sapiens (sic enim est habitus) et amicitiae gloria excellens de amicitia loquetur. Tu velim a me animum parumper avertas, Laelium loqui ipsum putes. C. Fannius et Q. Mucius ad socerum veniunt post mortem Africani; ab his sermo oritur, respondet Laelius, cuius tota disputatio est de amicitia, quam legens te ipse cognosces.

3 exemples de coaching de crise

Mise au placard

Une femme d'une quarantaine d'années vient me voir pour m'expliquer son dilemme.

Elle a dirigé un petit service dans un établissement bancaire pendant 12 ans, puis il y a 2 ans sa direction lui ôte ses responsabilités et l'installe au dernier étage, seule avec un ordinateur, mais sans responsabilités ; elle n'est plus dans l'organigramme et n'est plus invitée à participer aux réunions habituelles.

Aujourd'hui, déprimée, sans énergie, elle est incapable de se consacrer comme elle le voudrait à ses 2 enfants.

Elle hésite entre écouter son mari qui lui conseille de démissionner et de changer d'horizon, et s'accrocher à son job pour ne pas céder.

Que faire ?

Nous avons bâti un plan d'action ensemble et elle a retrouvé un poste similaire dans sa banque 2 semaines après la mise en place de ce plan.

Poste suspendu

Le Directeur Marketing d'un groupe industriel français, basé à Moscou, me téléphone par relation depuis la Place Rouge un mercredi.

Il me dit que, à la suite du rachat de sa société groupe important, son poste est supprimé et qu'il est convoqué le lendemain jeudi par son DG Français et sa DRH Russe pour licenciement.

Son objectif ? On est juin, et il souhaite prolonger son contrat jusqu'à la fin de l'année.

Mission réussie lors de la réunion du surlendemain.

Terrain d'entente

Une mère de famille divorcée est harcelée par son ex-mari qui se plaint en permanence de l'attitude de leurs 2 filles de 14 ans et de 16 ans respectivement.

Il bénéficie du droit de visite légal, c'est-à-dire 1 semaine sur deux en période scolaire et la moitié des congés scolaires.

Il prétend que leur mère les remonte contre lui, qu'elles ne lui obéissent pas, et que tous les moments passés ensemble sont gâchés car elles arrivent en retard le samedi en sortant du sport, elles montrent qu'elle s'ennuient, ou alors elles refusent d'aller chez lui en prétextant qu'elles ont des devoirs à préparer.

En fait, il dort la moitié du temps des weekends et ne leur propose jamais d'activités, telles que cinéma, théâtre, musée, concert, visites, excursions, etc.

La médiatrice nommée par le juge n'avait pas trouvé de solution après avoir écouté tout le monde.

Mission : trouver un terrain d'entente pour que la situation se calme et que personne ne se plaigne plus. Quatre séances d'une heure chacune plus tard, le problème était résolu.

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